DMS240

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Drone volant radio-commandé Hauteur de vol et portée : 150 mètres - Autonomie 13 à 15 min 4 moteurs brushed - 6 axes gyroscope Fonction atterrissage et décollage automatique

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Appareil photo, drone, camescope : et si le problème provenait de la carte mémoire ?

Que ce soit pour votre équipement photo, votre caméra, ou votre smartphone, une carte mémoire défectueuse peut occasionner de nombreux problèmes. Voici un tour d’horizon des raisons pour lesquelles votre carte SD peut vous faire faux bon. La carte SD n’est pas reconnue par l’appareil Dans le cas où vous auriez inséré une carte mémoire dans l’un de vos appareils mais que vous n’êtes pas en mesure d’y enregistrer quoi que ce soit, plusieurs causes possibles peuvent expliquer cela. Mauvaise position du loquet de la carte SD C’est un souci qui est particulièrement rencontré avec les appareils photos. Impossible de prendre le moindre cliché puisqu’un message d’avertissement s’affiche à l’écran. En cause : le verrouillage de la carte SD. Sur la tranche gauche de la carte se trouve une petite partie mobile que l’on peut glisser de haut en bas. Lorsque cette languette se trouve en position basse, cela signifie que votre carte mémoire est verrouillée. Aucun appareil ne peut donc procéder à de l’écriture sur la carte mais la lecture reste possible. La solution est simple : pousser le loquet vers le haut pour permettre l’écriture de données sur la carte mémoire. Carte mémoire mal formatée Il est possible que vous rencontriez des erreurs avec une carte mémoire que vous auriez au préalable vidé de ses données. Le fait de simplement supprimer tout le contenu du support d’enregistrement peut ne pas suffire. Il est important de correctement formater votre périphérique de stockage afin qu’il soit comme neuf. Il est aussi utile de s’attarder sur le format choisi pour le formatage. En fonction de l’appareil avec lequel vous comptez utiliser la carte mémoire, les formats supportés peuvent différer, tout autant que les avantages et inconvénients. Le FAT32 par exemple est universel et sera donc reconnu par tous les appareils mais la taille maximale par fichier est limitée à 4 Go quand on utilise ce format, ce qui peut s’avérer insuffisant pour tourner une vidéo avec une caméra sport. Le NTFS a beaucoup moins de contrainte mais le principal hic est qu’il n’est que partiellement compatible avec les ordinateurs Apple. Vous pourriez donc potentiellement vous retrouver bloqué sur Mac. L’exFAT constitue une bonne alternative aux 2 précédents formats puisqu’il permet de stocker des fichiers dont la taille unitaire va jusqu’à 128 Go tout en étant entièrement compatible avec de nombreux supports, dont les PC Apple. Carte mémoire dont la capacité est trop grande Il peut être tentant d’opter pour une carte mémoire de grande capacité (128 Go, 256 Go, 512 Go …) d’autant plus que leur prix est bien plus alléchant par rapport à quelques années auparavant. Avant tout, pensez à vérifier les caractéristiques techniques de l’équipement sur lequel vous souhaitez utiliser la carte mémoire. En effet, en fonction des appareils, des limitations peuvent s’appliquer. Il n’est pas rare que certains anciens camescopes par exemple plafonnent à un seuil de 64 Go. Au-delà, l’appareil ne détecte pas la carte. Cela s’explique en partie par le fait que le lecteur de carte mémoire intégré permet de lire une seule spécification de cartes : Cartes SD : jusqu’à 2 Go Cartes SDHC : jusqu’à 32 Go Cartes SDXC : jusqu’à 2 To Les prises de vue sont saccadées En cas d’images saccadées pendant un enregistrement ou de photos hachurées, il est probable que vous rencontriez un problème avec votre carte mémoire. Carte mémoire pas assez puissante Toutes les cartes mémoire ne se valent pas. En plus de la capacité de stockage, il faut prendre en compte la vitesse d’écriture. C’est d’autant plus important si vous filmez en 4K (voire en 8K), si vous utilisez un drone ou si vous prenez des clichés en rafale avec un appareil photo reflex. Le débit est crucial pour garantir de bonnes prises de vues : Cartes SD/microSD de classe 2 : débit minimal de 2 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe 4 : débit minimal de 4 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe 6 ou de classe V6 : débit minimal de 6 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe 10, de classe U1 ou de classe V10 : débit minimal de 10 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe U30 ou de classe V30 : débit minimal de 30 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe V60 : débit minimal de 60 Mbits/s Cartes SD/microSD de classe V90 : débit minimal de 90 Mbits/s Pour filmer en Full HD (1080p), une carte de classe 6/V6 peut faire l’affaire. En revanche, pour enregistrer en 4K, il faut a minima tabler sur une carte de classe 10/V10/U1. Les cartes portant la mention "V" sont spécialement conçues pour la vidéo mais rien n’empêche de les utiliser pour autre chose. Pour la photographie, tournez-vous de préférence vers des cartes estampillées U1, UHS-I (débit maximal de 50 Mo/s en écriture et 104 Mo/s en lecture) ou UHS-II (débit maximal de 156 Mo/s en écriture et 312 Mo/s en lecture). Ces cartes peuvent encaisser un grand nombre d’images dans un court laps de temps, sans flancher. Un adaptateur est utilisé Il est commun de retrouver des cartes microSD fournies avec un adaptateur pour le format SD. Cependant, si l’adaptateur utilisé n’est pas celui livré d’origine avec la carte microSD et qu’il n’est pas de bonne qualité, cela peut malheureusement causer des blocages de l’appareil au moment de faire des prises de vue. L’idéal est quand même de privilégier des cartes au format SD en évitant d’avoir recours à des adaptateurs microSD > SD. Carte mémoire trop ancienne ou pas adaptée Il vous est peut-être arrivé en passant à un nouvel appareil (comme un smartphone par exemple) de récupérer la carte mémoire de votre ancien modèle. Cela peut potentiellement être dommageable. En effet, si la carte que vous utilisiez convenait à l’époque, cela n’est peut-être plus le cas à présent. Par conséquent, il pourrait devenir impossible de consulter les images tournées à partir d'une caméra embarquée par exemple. Vérifiez donc que la carte mémoire corresponde aux standards minimaux de l’appareil avec lequel vous souhaitez l’utiliser et si nécessaire, optez pour une carte plus performante.

Bien débuter avec un drone

Se servir d’un drone est à la portée de tous mais il y a quelques prérequis à respecter. Pour éviter que votre appareil reste cloué au sol ou qu’il ne finisse dans le décor, voici de précieux conseils pour parfaitement le prendre en main. A vos marques, prêts, volez ! Avant même de commencer à voler La première chose à faire lorsqu’on possède un drone, c’est de s’inscrire en ligne sur le site Alpha Tango afin d’enregistrer son aéronef. Ce n’est pas tout puisqu’il est nécessaire de suivre la formation réglementaire, obligatoire pour faire voler votre appareil sur le territoire français. Durant la formation, vous apprendrez qu’il existe des zones qu’il est interdit de survoler. Une carte interactive permet de savoir précisément là où l’on peut voler et là où l’on ne peut pas. Commencez par vérifier si votre habitation, ou l’endroit où vous comptez utiliser votre drone, se trouvent dans une zone autorisée. Nous vous conseillons fortement de lire aussi le guide d’utilisateur, même si vous avez déjà de l’expérience avec les drones. Certaines spécificités peuvent changer d’un modèle à un autre alors mieux vaut être à jour. Préparer le décollage Charger les batteries Avant de pouvoir prendre votre envol, il vous faut recharger entièrement les batteries de votre drone. Lorsque vous les recevez, elles sont en mode hibernation. Cela permet de les préserver entre le moment où elles sortent de l’usine et le moment où vous les recevez. Pour justement les sortir du mode hibernation, pas d’autre solution que de les charger. Il va falloir faire preuve de patience car en fonction de la capacité totale de la batterie et de la manière dont vous la chargez, cela peut prendre plusieurs heures. Profitez-en pour charger aussi une éventuelle batterie supplémentaire et la télécommande de vol si elle fonctionne sur batterie. Monter correctement les hélices Pour espérer pouvoir voler, il est impératif que les hélices soient installées dans le bon sens. Il peut sembler qu’il n’y a pas d’importance à placer les hélices à n’importe comment. Détrompez-vous, les hélices ont bel et bien un sens. Elles se montent en parallèle et c’est d’ailleurs ce qui leur permet de maintenir le drone stabilisé. En règle générale, les bases des hélices sont conçues de manière à ne pas pouvoir être vissées en dehors de leurs emplacements respectifs. Si toutefois vous inversiez le positionnement des hélices, vous vous rendrez compte assez rapidement que le drone ne décolle pas. Calibrer le drone Le processus de calibration est important, surtout avant la première utilisation. Cela permet de réinitialiser d’une certaine manière les paramètres gyroscopiques. En clair, c’est utile pour voler en toute stabilité, voler à la bonne altitude, voler à la bonne vitesse mais il aussi pouvoir revenir sereinement au point de départ/arrivée. Pour calibrer un drone, il est nécessaire de le poser sur une surface parfaitement plane et de suivre la procédure propre à votre modèle (en général, cela consiste à maintenir les joysticks de la télécommande dans une certaine position). Si la surface est penchée ou instable, le calibrage risque d’être faussé, ce qui peut entraîner votre drone à dévier lors des vols stationnaires. Pour plus de sérénité, il est recommandé de calibrer son drone à chaque utilisation, sachant que cela ne prend que quelques secondes. Dès lors que vous remarquez que votre drone ne parvient pas à voler de manière stable – hormis lorsqu’il y a du vent – un recalibrage est nécessaire. Calibrer la nacelle du drone Votre drone est peut-être équipé d’une nacelle qui accueille un appareil photo. Dans ce cas, il y a un calibrage supplémentaire à effectuer : celui de la nacelle. Le but est ici de faire en sorte que lors des prises de vue, les images soient stables et nettes malgré les mouvements du drone. Généralement, ce paramétrage se fait depuis l’application de gestion de votre drone. Vous avez à présent le feu vert pour décoller. Voici encore quelques bonnes pratiques pour la route. Pour conserver une bonne expérience de pilotage Faire les mises à jour Lorsque des mises à jour sont déployées, n’hésitez pas à les installer pour votre drone. Elles amènent des nouveautés, des améliorations et des corrections de bugs. Le plus simple est d’activer le paramètre permettant les mises à jour automatiques. Avoir une bonne carte mémoire Ne négligez pas le fait d’avoir une carte mémoire suffisamment bien lotie. Il est vrai que la capacité de stockage est un élément important mais il faut aussi se pencher sur la vitesse d’écriture de la carte mémoire. Elle est déterminante car si la vitesse d’écriture est insuffisante, vous risquez de vous retrouver avec des vidéos dont les images sont saccadées. Voici à titre informatif les principales classes et leurs débits garantis en écriture : Cartes SD de classe 2 : débit minimum de 2 Mo/s Cartes SD de classe 4 : débit minimum de 4 Mo/s Cartes SD de classe 6 / classe V6 : débit minimum de 6 Mo/s Cartes SD de classe 10 / classe U1 / classe V10 : débit minimum de 10 Mo/s Cartes SD de classe U3 / classe V30 : débit minimum de 30 Mo/s Cartes SD de classe V60 : débit minimum de 60 Mo/s Cartes SD de classe V90 : débit minimum de 90 Mo/s Pour faire des prises de vue avec un drone, en Full HD, vous aurez besoin a minima d’une carte de classe 6. Pour de la 4K, il faudra se tourner au minimum vers une carte de classe 10 / U1/ V10. Privilégiez les cartes avec la mention "V" car elles sont optimisées pour la vidéo. A vous de jouer !

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