Trouver le diagnostic d'une panne.
L'essentiel pour garder son ventilateur en bon état de marche
Propriétaire certifié
Cet utilisateur est un propriétaire certifié du produit car il a acquis son bien sur le site darty.com ou a fait valider sa possession (sur présentation d’une facture par exemple).
Vous n’avez sans doute pas envie que votre ventilateur flanche en pleine période estivale. Pour parer à tout problème, nous vous dispensons quelques conseils qui vous permettront de garder un ventilateur opérationnel pour rendre la chaleur un peu plus supportable.
Combattre la poussière
Pour profiter de son ventilateur en toute tranquillité pendant tout l'été, il est nécessaire de mener une bataille impitoyable contre la poussière. Il faut régulièrement veiller à s’en débarrasser avant qu’elle ne prenne de l’ampleur et devienne plus compliquée à retirer.
Au-delà de l’aspect esthétique, il y va du bon fonctionnement de votre appareil. En effet, si la poussière parvient à se frayer un chemin jusqu’au moteur, elle appliquera une contrainte supplémentaire sur ce dernier qui aura à fournir plus d’efforts pour tourner. Cela peut finir par entraîner une surchauffe lors des périodes d’utilisation prolongées. Enfin, la poussière se déposant sur les pales risques de virevolter pendant la rotation, ce qui peut amener une dispersion des particules dans votre intérieur et affecter les voies respiratoires des personnes les plus sensibles.
Vérifier que tous les éléments sont en place
Les pales du ventilateur qui coincent ou des vibrations anormales en cours de fonctionnement sont autant, de tracas qui peuvent avoir lieu si tout n’est pas exactement à sa place. Si une vis n’a pas été correctement serrée ou que les instructions de montage n’ont pas été suivies jusqu’au bout, les conséquences peuvent prendre de l’ampleur. En cas de doute, n’hésitez pas à tout revérifier en vous aidant de la notice.
En cas de problème …
Que faire en cas de problème avec son ventilateur ? Pour vous aider, voici quelques solutions qui peuvent s’avérer utiles.
En cas de difficultés de fonctionnement diverses, tentez de brancher votre ventilateur ailleurs qu’à l’endroit actuel. Si vous utilisez une rallonge ou une multiprise, profitez-en pour la retirer et raccorder l’appareil directement à une prise murale pour vérifier si le problème est résolu.
Votre ventilateur s’est subitement arrêté ? Il n’est pas impossible que ce soit tout simplement parce qu’un minuteur précédemment réglé est arrivé à échéance. Si en revanche vous n’avez pas programmé de minuteur, le ventilateur a pu se mettre en sécurité à cause d’une surchauffe. Débranchez-le et attendez qu’il refroidisse complètement avant de le remettre en route.
Si votre ventilateur a été fourni avec une télécommande et que cette dernière ne fonctionne plus, même après avoir remplacé les piles, en attendant d’en commander une nouvelle, vous pouvez toujours utiliser les fonctions les plus basiques en manipulant les boutons qui se trouvent directement sur l’appareil.
Quelques conseils pour la route
Pour finir, voici quelques conseils qui peuvent vous servir lors de l’utilisation de votre ventilateur.
Premièrement, éteignez votre ventilateur dès lors qu’il n’y a personne dans la pièce. Le ventilateur ne fait que brasser de l’air et il n’y a aucun bénéfice à le laisser tourner dans un endroit vide, contrairement à un climatiseur qui peut conserver la température dans une pièce.
Ensuite, pour optimiser la manière dont la pièce dans laquelle vous vous trouvez est ventilée, préférez placer le ventilateur dos à une fenêtre. De cette manière, l’air extérieur sera aspiré puis distribué dans la pièce. Il va sans dire que cette option est à privilégier lorsque la température extérieure est inférieure à la température intérieure. Si c’est l’inverse, il faudra orienter le ventilateur en direction de la fenêtre pour chasser l’air intérieur vers l’extérieur.
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Appareil à fondue : les précautions à prendre pour éviter les problèmes
Pour assurer à votre appareil à fondue une meilleure longévité, nous vous proposons quelques conseils qui vous aideront à éviter de mauvaises surprises. Pour éviter une altération de l'appareil Parmi les précautions à prendre lors de l’utilisation d’un appareil à fondue, la première consiste à s’assurer que toutes les conditions de sécurité sont réunies. L’idéal est de placer l’appareil sur une surface parfaitement stable, à proximité d’une prise murale. En effet, certains fabricants proscrivent l’usage de rallonges ; d’autres en tolèrent l’utilisation, à condition de brancher l’appareil en toute sécurité. Respectez les indications inscrites dans la notice pour éviter des problèmes d’ordre électrique. De cette manière, vous pourrez éviter l'apparition de codes erreurs (si votre appareil à fondue est équipé d'un écran). Les anomalies les plus courantes sont des problèmes de tension électrique (tension trop basse ou au contraire trop haute), des problèmes de surchauffe ou tout dysfonctionnement nécessitant une réparation. Après s’être bien régalé, il est nécessaire de nettoyer son appareil à fondue. Pour éviter d’endommager le revêtement du caquelon, utilisez de préférence des ustensiles en bois ou en plastique pour décoller les résidus de fromage qui auraient pu rester collés après la cuisson. Pour éviter des complications avec la préparation Si vous prévoyez une fondue bourguignonne, rappelez-vous que l’eau et l’huile ne font pas bon ménage, et encore moins à haute température. Assurez-vous donc que les aliments à cuire sont convenablement égouttés ; en ce qui concerne les aliments congelés, veillez à ce qu’ils soient bien décongelés avant la cuisson car au contact de l’huile chaude, la glace se transformera en eau, ce qui risque de causer une violente réaction. Toujours en parlant d’huile, vérifiez quelles sont celles qui sont autorisées pour la cuisson par la notice de l’appareil. Il y a des chances que l’huile de pépins de raisins ou d’autres huiles aromatiques ne soient pas approuvées. Tout dépend de la température atteinte par l’appareil à fondue. Certaines huiles sont sensibles à la chaleur : au-delà d’un seuil, elles se dégradent car leur composition chimique change. Des huiles comme l’huile de tournesol ou l’huile d’arachide s’avèrent plus stables à haute température. Bon à savoir : Quand elle est à température, l’huile ne doit pas bouillir mais juste frémir. Vous pouvez aussi vous aider d’un pic en bois à tremper dans la préparation. Dès que des bulles se forment autour, vous pouvez faire cuire la viande. Pour ces raisons et par souci de préservation des saveurs, ne mélangez pas différentes huiles. De même, à chaque nouvelle préparation, utilisez systématiquement une huile neuve. Pour les amateurs de fondues savoyardes, l’astuce permettant une cuisson plus rapide est de découper le fromage en dés ou d'utiliser du fromage râpé. Même son de cloche pour les fondues au chocolat où il est préférable de casser vos tablettes en morceaux. Pour la cuisson, pensez à remuer régulièrement et préférez une température modérée afin que le chocolat préserve un bel aspect et qu’il ne brûle pas. Lorsque le niveau de fromage ou de chocolat se réduit, pensez à diminuer la température. Bon appétit et gare à la personne qui fera tomber son morceau dans le caquelon !
Eviter différents problèmes pouvant être rencontrés avec une crêpière
Réaliser des crêpes à l’aide d’une crêpière n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Des problématiques parfois insoupçonnées peuvent entraver la préparation et porter préjudice à l’appareil ou à la qualité des crêpes. Comment préserver le revêtement de la crêpière ? Un revêtement en mauvais état ou insuffisamment préparé peut avoir des conséquences sur la cuisson de vos crêpes et de vos galettes bretonnes. La première chose est de privilégier l’utilisation d’ustensiles en bois en en plastique lors de l’utilisation de la crêpière. En les préférant à une spatule en métal, vous éliminez le risque de rayage du revêtement de l’appareil (anti-adhésif ou en fonte). Dans la même veine, évitez de couper les crêpes à même la plaque. Disposez-les au préalable dans un plat. Prudence lorsque le garnissage des crêpes est réalisé à même la plaque car avec les crêpières en fonte, le contact avec certains aliments peut causer des détériorations. Enfin, pensez à graisser légèrement votre appareil avant chaque utilisation, voire après chaque crêpe. Cela vaut aussi pour les modèles dont la plaque est anti-adhésive. Faites-le tout de même avec parcimonie car la matière grasse qui s’accumule peut finir par gêner la transmission de chaleur de la plaque à la pâte à crêpe. Pour les crêpières en fonte en revanche, il est important de veiller à ce que le culottage de la plaque soit régulièrement réalisé. Pour rappel, cette opération qui a lieu avant la première utilisation consiste à créer une couche protectrice sur la plaque afin de faciliter, entre autres, le décollement des crêpes. Il est préconisé de réaliser à nouveau le culottage environ toutes les 5 utilisations. Comment éviter une surchauffe ? Lors de l’utilisation d’une crêpière, l’un des dangers qui guette, c’est la surchauffe. Pour éviter d’en arriver jusque-là, quelques mesures suffisent. En premier lieu, assurez-vous de conserver une distance d’au moins 20 cm entre la crêpière et un mur ou un recoin (1m dans le cas d’une crêpière à gaz). Cela permet de laisser suffisamment d’espace pour aider la chaleur à mieux se dissiper tout en évitant aussi que les températures élevées ne détériorent des éléments sensibles qui se trouveraient à proximité. Ensuite, veillez à ne pas obstruer les trous de ventilation situé sur l’appareil. Bien qu’il puisse paraître pratique de disposer du papier aluminium sur la crêpière pour éviter que les coulures ne salissent la zone, cela peut causer des problèmes. Comment ne pas rater ses crêpes ? Passons à présent à quelques détails qui peuvent faire la différence et vous permettre de réussir votre série de crêpes. Si vous constatez que votre pâte à crêpe est trop épaisse, vous pouvez toujours y ajouter un peu d’eau ; des crêpes fines cuisent plus vite. En cas de présence de grumeaux dans votre pâte à crêpe, n’hésitez pas à la tamiser afin de la rendre plus fluide. Attention, à ce qu'elle ne soit pas trop fluide pour autant. Vos crêpes sont brûlées ? Baissez la puissance du thermostat afin de réduire la température. En conservant un temps de cuisson à peu près similaire, les crêpes suivantes devraient être parfaites. Si la pâte à crêpe colle au revêtement, c’est sans doute signe que la crêpière est trop chaude et dans ce cas, il faudra baisser la température. Cela se produit aussi lorsque le culottage n’est pas effectué à l’issue d’un nettoyage approfondi sur les crêpières en fonte. A contrario, si la pâte glisse sur la plaque ou a tendance à coller au râteau, c’est certainement parce qu’il y a trop de graisse. A l’aide d’un essuie-tout, retirez l’excédent de matière grasse se trouvant sur le revêtement. Vous avez à présent toutes les clés en main pour déguster vos crêpes en préservant votre appareil des coups de chaud et des rayures.
Dépanner facilement une machine à barbe à papa
Nous vous proposons de découvrir quelques problèmes mineurs qui peuvent être rencontrés lors de l’utilisation d’une machine à barbe à papa et les solutions qui vous permettront de savourer vos confiseries préférées en toute quiétude. Les problématiques souvent rencontrées L’anneau ne tourne pas Si d’aventure vous constatez que le disque propulseur ne tourne, sachez qu’il y a de grandes chances pour que ce soit à cause de résidus de sucre. En effet, si la machine à barbe à papa est utilisée à de nombreuses reprises sans être nettoyée régulièrement, des dépôts de sucre peuvent se solidifier jusqu’à empêcher la rotation du plat pivotant. Pour éviter cela, veillez à nettoyer cette partie après chaque utilisation en la détachant puis en la trempant dans une solution d’eau chaude et de liquide vaisselle. Assurez-vous au préalable que l’appareil ait complètement refroidi afin d’éviter toute brûlure. Problèmes relatifs au sucre Après l’incorporation de sucre dans la machine, certains problèmes peuvent apparaître. Du sucre se met à brûlerLorsque du sucre se met à brûler, c’est le signe que l’appareil n’a pas été correctement nettoyé lors de sa précédente utilisation ou bien que lors de l’utilisation actuelle, plusieurs barbes à papa d’affilé ont été réalisées. Le sucre s’étant accumulé, il émet des fumerolles sous l’effet de la chaleur. Suspendez alors la fabrique de barbe à papa et attendez que l’appareil ait suffisamment refroidi pour le nettoyer. Une fois que tout est parfaitement sec, vous pourrez relancer la machine. Du sucre est projetéDes grains de sucre sont projeté contre la paroi ? Cela signifie que vous avez inséré trop de sucre d’un coup. A l’avenir, réduisez la quantité afin d’éviter de gâcher du sucre qui finalement ne pourra pas servir à la constitution de la barbe à papa. Problèmes relatifs à la consistance de la barbe à papa Certaines conditions favorisent la formation de barbes à papa qui ne sont pas assez uniformes. C’est notamment le cas lorsque trop peu de sucre a été incorporé dans l’appareil. Pour résoudre le problème, augmentez légèrement le dosage de sucre. Ce cas de figure se produit également quand on utilise des bonbons à la place du sucre et que ces derniers n’ont pas correctement fondus parce qu’ils étaient inégalement répartis. Faites en sorte de ne pas placer les bonbons d’un seul côté de la coupelle seulement mais de les espacer afin que lors de la rotation du plateau, la projection se fasse de manière homogène. Si les filaments de barbe à papa vous paraissent trop fins, il est probable que ce soit à cause de bonbons inadaptés. En effet, avec les machines permettant l’utilisation de bonbons à la place du sucre, il faut à tout prix utiliser des bonbons solides. Les astuces à connaître Pour que vos barbes à papa soient parfaitement réussies, voici quelques conseils. Pensez à bien préchauffer l’appareil en l’allumant et en le faisant tourner à vide pendant environ 5 minutes. Ensuite, éteignez-le et incorporez le sucre pour commencer la production de barbe à papa. D’ailleurs, veillez à utiliser du sucre adapté (du sucre fin mais pas de sucre glace ni de cristaux de sucre). Si la notice de votre machine vous autorise à utiliser des bonbons à la place du sucre, brisez-les en petits morceaux afin qu’ils fondent plus facilement. Si vous utilisez des bâtonnets en bois, trempez-les au préalable dans de l’eau afin que le sucre puisse bien adhérer à la tige.
Les principes à retenir pour l'utilisation d'un four nouvelle génération
Les fours modernes sont de plus en plus sophistiqués, ce qui conduit à des questionnements par rapport à leur fonctionnement. Les fonctionnalités proposées sont pratiques mais impliquent un respect scrupuleux de certaines consignes faute de quoi la cuisson ou le four en lui-même pourraient être impactés. Pour éviter toute déconvenue, voici quelques éléments à garder en tête lorsqu'on possède un four dernier cri. Manipulation de la porte Rien de plus banal que d’ouvrir et fermer la porte d’un four encastrable. Et pourtant, il existe une habitude insoupçonnée qui peut entraîner des répercussions importantes. Il vous est déjà sûrement arrivé de pousser la grille ou la lèchefrite à l’aide de la porte. Ce geste occasionne des micro-chocs qui, s’ils sont répétés, créent de petites fissures. Dans les cas les plus graves, la vitre finit par exploser sous l’effet de la chaleur (en cas de pyrolyse par exemple). Pour cette même raison, il est recommandé de ne rien poser sur le verre lorsque la porte est ouverte et qu’on retire un plat de l’enceinte du four. Pour les fours équipés d’une porte escamotable, il y a aussi une précaution à prendre : tenir la poignée à 2 mains lors de l’ouverture et la fermeture. En effet, en n’utilisant qu’une main, on peut exercer une force qui n’est pas équilibrée des deux côtés, ce qui peut amener à une défaillance de la charnière. A contrario, si la tension est répartie d’un côté comme de l’autre, les risques de casse sont considérablement réduits. Enfin, pensez à vérifier régulièrement l’état des joints du four. S’ils sont sales ou endommagés, le four sera moins hermétique et la chaleur s’échappera de la cavité. Bruits de fonctionnement Lorsque vous entendez que votre four continue à fonctionner alors que vous l’avez éteint, pas de panique. C’est le système chargé de refroidir l’appareil (et notamment la partie électronique) à l’issue d’une cuisson qui est à l’œuvre. Il s’agit d’un ventilateur dit "tangentiel" qui peut continuer de tourner pendant plus d’une heure si la cuisson a été effectuée à haute température. Sur les fours vapeur, un bruit caractéristique peut être entendu. Il s’agit simplement de la pompe qui est à l’œuvre. On peut l’entendre en début de programme mais aussi à la fin, si le four est équipé d’une fonction de vidange (un peu comme sur un lave-vaisselle ou un lave-linge). En plus de cela, on retrouve aussi des bruits qui correspondent à la dilation de certains métaux en raison de la température ou à la montée en température de certains aliments surgelés. Rien d'inquiétant de ce côté. Si malgré tout un bruit vous paraît suspect, vous pouvez contacter le service après-vente Darty. Emplacement de la sonde de cuisson La sonde de cuisson est pratique car elle permet une cuisson précise si tant est qu'elle est correctement placée. De manière générale, la sonde doit être insérée dans la partie la plus épaisse de la viande ou de la volaille (en évitant les os, les parties grasses et les parties creuses). Notez que la sonde doit être placée de telle sorte qu'elle n'ait pas à être retirée au moment de retourner la viande pendant la cuisson. Pour du poisson, la sonde doit être insérée derrière la tête. Pour la préparation d’un ragout, l’emplacement idéal est au centre du plat, sans toutefois que la sonde ne touche le fond. Enfin, étant donné que la viande peut prendre du volume en cuisant, il est déconseillé d’enfourner votre préparation à l’emplacement le plus haut du four car la sonde pourrait entrer en contact avec la résistance de voûte. Précautions à prendre pour une pyrolyse La pyrolyse est le moyen le plus efficace pour nettoyer l’intérieur d’un four mais pour autant, il convient d’effectuer un travail de préparation en amont. Faites en sorte de retirer les résidus alimentaires et les dépôts de graisse après chaque cuisson. Si vous ne vous en débarrassez pas avant de lancer une pyrolyse, ils peuvent entraîner l’apparition de flammes. N’oubliez pas non plus d’enlever tous les accessoires de l’enceinte du four. En fonction du modèle de votre four, référez-vous au manuel d’utilisation pour savoir si les gradins fixés aux parois doivent aussi être retirés ou non. Four à vapeur : quelques principes généraux Vous ne voyez pas l’ombre d’un nuage de vapeur lors de l’utilisation de votre four ? Premièrement, sachez que certains programmes peuvent ne pas être compatibles avec la fonction vapeur ; dans d'autres cas, elle n'est activée qu'à certains moments précis de la cuisson. Ensuite, sachez que dans certaines conditions, la vapeur n'est pas visible, sans que cela ne soit un quelconque dysfonctionnement. Pour optimiser vos cuissons, privilégiez des ustensiles de couleur foncé car ils absorbent mieux la chaleur. Il en est de même pour les moules en inox. Et pour que la vapeur puisse circuler librement à l’intérieur du four et garantir de meilleurs résultats, veillez à ne pas trop garnir les grilles et les récipients. Utiliser la bonne eau L’eau utilisée pour la cuisson vapeur n’est pas une affaire anodine. Naturellement, c’est l’eau du robinet qui est préconisée mais si votre eau contient trop de chlore ou de calcaire, il est recommandé de se servir d’eau minérale (plate). L’eau filtrée ou l’eau déminéralisée ne sont en revanche pas conseillées pour plusieurs raisons. Le four peut avoir du mal à les détecter et il vous sera demandé – à tort – de remplir le réservoir alors qu’il est déjà plein. Dans d’autres cas, la production de vapeur sera tout simplement stoppée quelques minutes après le début de la cuisson. De plus, s’il est vrai que l’eau dure entraîne un entartrage, l’eau distillée quant à elle peut entraîner de la corrosion. Bon à savoir : Les minéraux présents dans l’eau courante sont cruciaux dans le processus de cuisson des aliments à la vapeur. Détartrage Bien entendu, pour garder la machine en bon état, le détartrage est une étape primordiale. S’il n’est pas réalisé dans les délais impartis, le four pourra bloquer l’utilisation des fonctions de vapeur pour les cuissons. Mieux vaut donc ne pas tarder. Veillez à utiliser les produits de détartrage recommandés par le fabricant (pastilles, liquide détartrant, cartouches de nettoyage ou vinaigre ménager). En cas de déménagement, pensez à effectuer un recalibrage du paramètre de dureté de l’eau si votre four possède cette fonction. Cela permettra à l’appareil de vous alerter en temps et en heure lorsque le détartrage sera nécessaire. Hydrolyse L’hydrolyse est un moyen de faciliter le nettoyage du moufle en ramollissant les saletés qui y ont adhéré. Il est donc nécessaire d’effectuer un nettoyage manuel en complément, ou du moins, d’essuyer les parois avec un chiffon doux. Bon à savoir : Après avoir eu recours à une fonction utilisant de la vapeur, laissez la porte du four ouverte ou lancez un programme de séchage pour éviter que l’humidité n’entraîne l’apparition de rouille.
Détecteur de fumée : les solutions aux problèmes fréquents
En tant qu’organe de sécurité primordial de votre domicile, le détecteur de fumée se doit d’être toujours opérationnel. Cependant, en cas de dysfonctionnement, il convient de savoir comment réagir. Pour cela, nous vous expliquons l’origine de certains problèmes fréquents et que faire si vous y êtes confrontés. Le détecteur de fumée sonne sans raison apparente Pour toutes ces fois où vous vous êtes dit "Ca va y’a pas le feu" lorsque votre détecteur de fumée s’est mis à hurler sans raison, voici quelques explications. Fumées et vapeurs Parmi les raisons les plus fréquentes qui causent le déclenchement inopiné d’un détecteur de fumée on trouve les fumées de cuisson. En effet, avant que l’odeur de brûlé ne parvienne à votre nez, c’est le son de l’alarme de votre détecteur de fumée qui parviendra à vos oreilles. Bien que ce soit une bonne chose, c’est parfois un tantinet embêtant. Le détecteur peut en effet se déclencher alors que vous avez la situation sous contrôle. Si vous faites des grillades d’intérieur ou que votre recette de cuisine nécessite que vous fassiez flamber un aliment, gare à vos oreilles. En l’absence de hotte, ouvrez les fenêtres pour permettre une dissipation des fumées. Mais la solution la plus efficace reste de changer l’emplacement du détecteur de manière à le rendre moins enclin à se déclencher suite à une simple cuisson. Cela est valable aussi pour la salle de bain (la vapeur d’eau consécutive à une douche chaude peut causer le déclenchement d’un détecteur situé trop près d’une salle d’eau). Bon à savoir : Tous les détecteurs de fumée ne détectent pas forcément le monoxyde de carbone qui est un gaz inodore et dangereux. Pièce à la température basse Un départ de feu peut avoir lieu dans n’importe quelle pièce de la maison. C’est pour cela que plusieurs détecteurs sont parfois disséminés à des endroits stratégiques, surtout si la surface habitable est grande. Mais certains endroits étant des lieux de vie et d’autres de simples lieux de passage, des disparités de thermiques sont fréquemment observées dans un même habitat. Ainsi le garage ou le grenier peuvent être plus froids que d’autres pièces et ces températures basses peuvent provoquer des déclenchements intempestifs du détecteur de fumée. Et comme souvent dans ce genre de configuration les détecteurs sont reliés entre eux, il suffit qu’un seul s’active pour que tous les autres se déclenchent à l’unisson. Le détecteur est pollué Un détecteur de fumée est équipé d’une LED qui émet en permanence une lumière infrarouge à l’intérieur du boitier. Dès lors que le faisceau lumineux est perturbé par la présence de fumée dans l’appareil, l’alarme retentit. Le problème, c’est que certains éléments peuvent aussi troubler le fonctionnement du détecteur de fumée, à commencer par la poussière. Si elle est présente en grande quantité, elle peut créer de fausses alertes. Autre fautif probable : le pollen. Du fait de leur taille microscopique, certaines particules de pollen peuvent se loger à l’intérieur du détecteur de fumée et causer son activation. Enfin, les petits insectes peuvent eux aussi se frayer un chemin jusque dans votre appareil. Si une araignée suffisamment petite parvient par exemple à entrer et à commencer à tisser sa toile, le détecteur considérera qu’il y a de la fumée. Pour éviter tous ces désagréments, il est recommandé de nettoyer régulièrement le détecteur de fumée en vous servant d’un aspirateur et/ou d’un chiffon. Après chaque nettoyage, procédez à un test de l’alarme pour vous assurer qu’elle est en bon état de marche. Les piles sont en fin de vie Si vous constatez que votre détecteur de fumée émet un signal sonore périodique et moins strident que celui qui retentit en cas d’alerte, c’est le signe que les piles ont besoin d’être remplacées. Alors dès les premiers "bips", n’attendez pas et remplacez les piles au plus vite. Cela dit, certains détecteurs de fumée sont équipés d’une pile inamovible qui est scellée. Si l’appareil se met à bipper (généralement au bout de 10 ans) il faudra alors acheter un nouveau détecteur. Il y a un problème suite au remplacement des piles Comme vu plus haut, le bon fonctionnement de votre détecteur de fumée dépend du niveau de piles. Cela dit, même après un remplacement, des problèmes peuvent apparaître. Le détecteur de fumée bippe même après un remplacement de piles Si vous faites face à un détecteur qui continue de sonner alors que vous avez remplacé les piles, c’est sans doute le signe que l’appareil est arrivé en fin de vie (au bout de plusieurs années) et qu’il faut carrément le remplacer. Les piles du détecteur de fumée se déchargent rapidement Si à votre grande surprise vous devez encore changer les piles de votre détecteur peu de temps après les avoir remplacées, c’est sans doute parce que les bonnes piles ne sont pas utilisées. Certains appareils requièrent des piles de haute qualité ou des piles conçues pour des usages particuliers. Pour un détecteur de fumée, il est important de se conformer aux prescriptions du fabricant concernant le modèle de piles à utiliser. Sans cela, elles peuvent vite arriver en fin de vie voire pire : des piles de mauvaise qualité peuvent causer des bugs (fausses alertes ou incapacité à détecter la fumée correctement) car elles ne parviennent pas à délivrer une alimentation stable. Problèmes de connexion avec le détecteur de fumée De plus en plus d'appareil se dotent de fonctions connectées et les détecteurs de fumée n'y échappent pas. La connexion entre le détecteur de fumée et le réseau internet se fait normalement sans grande difficulté mais parfois, un pépin peut arriver. Impossible de connecter le détecteur de fumée au réseau wifi Il existe des cas de figure où l’appareil peut ne pas se connecter au wifi, à commencer par l’incompatibilité entre la fréquence du détecteur de fumée et celle de votre box internet. Il n’est pas rare que les objets connectés ne se connectent que via la bande de fréquence 2,4 GHz. Changez donc les paramètres de votre modem si nécessaire. Ensuite, le réseau wifi requiert certaines spécificités. En termes de sécurité, si le protocole WPA est utilisé au lieu du protocole WPA2 (plus avancé), il se pourrait que la connexion échoue. Contactez alors votre fournisseur internet. De même, il est nécessaire que le réseau soit privé : une connexion passant par un réseau public pourrait rendre impossible la connexion avec le détecteur. Enfin, vérifiez si l’OS de votre smartphone ou de votre tablette est bien à jour et s’il est compatible avec votre détecteur de fumée. Le détecteur de fumée rencontre des problèmes de connexion au réseau Si votre détecteur de fumée connecté se comporte de manière étrange ou se déconnecte intempestivement de votre réseau wifi, procédez à une réinitialisation de l’appareil. Cela permettra de remettre les choses en ordre et de se débarrasser potentiellement de bugs logiciels.
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