A vous qui lisez ces lignes, vous n’êtes pas arrivé ici par hasard…
En effet, vous vous êtes déjà fait une bonne idée de ce que vaut la tablette Microsoft surface et vous vous interrogez certainement sur la nécessité/utilité d’avoir le clavier en duo avec la surface, car oui, même s’il s’agit d’un bel objet (convenons-en), la question de débourser 179€, vous vous la posez !
Alors, bien ou pas ce clavier pour son prix et les possibilités qu’il offre ?
Est-ce un incontournable à avoir quand on possède déjà une surface pro ? Explications…
Présentation :
Le clavier arrive dans une boite en carton blanc avec une partie haute en plastique transparent, difficile de faire plus simple en termes de présentation. Dès lors vous avez le choix en termes de coloris pour « habiller » votre surface pro. J’ai personnellement opté pour un bleu cobalt, dont je ne me lasse pas.
« Oh c’est tout doux ^^ », est certainement la première pensée intérieure qui vous traversera en déballant le clavier lorsque vous le toucherez pour la première fois. En effet, le clavier est en alcantara, matière entre le cuir et le nubuck pour résumer, que l’on retrouve souvent dans supercars italiennes et allemandes (vous me suivez ?), un matériau de qualité premium pour résumer.
Sympa comme approche car objectivement, on se moque un peu de savoir que ce clavier est doux au toucher à la base, ce que l’on recherche avant tout c’est l’efficacité et la mobilité, c’est en tout cas mon critère de choix principal. Dès lors ce petit plus (que Microsoft facture, entendons-nous) est une bonne idée, faisant passer la surface comme un objet tendance, qui se fera tantôt discret dans votre intérieur, tantôt comme le centre d’intérêt pour les curieux et afficionados des belles choses un peu « Tech » lors de vos (trop ?) nombreuses réunions.
Comment l’utiliser ?
Hummmmm, c’est d’une simplicité plus qu’enfantine. On approche la surface de la base du clavier, aimantée, et « CLIC », voilà la Surface et le clavier qui se marient, fusionnent pour transformer votre « Tablette Surface » en ordinateur portable.
OUI, OUI, inutile de sourire, vous avez bien lu, ce petit clavier réussi l’exercice de transformer une expérience tactile en solution mobile car l’utilisation s’en trouve revisitée. En gros, prenez un ordinateur portable, et tentez de faire la même chose avec la surface équipée ou non du type cover, un monde s’ouvre désormais à vous ??
« Oui, mais euhhhhh, il n’est pas dur le clavier, il est mou alors, gna gna gna… » STOOOOP !
Oui, on est d’accord, il n’est pas aussi rigide qu’on morceau de bambou, et pourtant l’expérience de frappe est vraiment super intéressante, et cette légère flexibilité du clavier est plutôt un plus.
Je m’explique, la frappe est super dynamique, assez déstabilisant au début, car on a l’impression d’un léger sautillement tel un micro trampoline pour vous le représenter.
Comprenez ici que vos doigts vont aimer la nouvelle expérience, presque comme un jeu. Ça va vite, c’est vraiment dynamique, avec un gros plus, le rendu en termes de mécanique de frappe est vraiment très proche de celui d’un clavier de portable, les touches sont vraiment « mécaniques », pas comme sur les claviers moches et mal designés d’une fameuse marque à la pomme (bof bof bof…).